Nairobi à moins de 15 heures de vol de l’Aéroport international John F. Kennedy de New York

C’est la compagnie aérienne Kenya Airways qui aura donc été la première en Afrique de l’Est à proposer des vols directs de Nairobi à destination des États-Unis. Le vol inaugural ayant été effectué à la fin d’octobre de 2018 : 14 heures 25 minutes. Nécessitant l’apport de 4 pilotes! Incidemment, certains aiment à parler d’un « nouveau décollage » pour le commerce entre les États-Unis et l’Afrique.

À l’évidence, ce nouveau vol direct reliant l’Afrique de l’Est aux États-Unis devrait resserrer les liens et faciliter de nouvelles possibilités d’investissements entre ces deux régions. Kenya Airways a d’ailleurs lancé sa première liaison directe entre Nairobi et l’Aéroport international John F. Kennedy à New York en laissant présager une hausse de 25% du commerce entre les deux pays… Mais la Kenya Airways n’est pas seule en liste. Elle rejoint simplement d’autres compagnies aériennes africaines qui proposent déjà des vols directs entre les États-Unis et le continent africain, comme South African Airways et Ethiopian Airlines, qui sont elles aussi en Afrique de l’Est.

UN PAS DE PLUS POUR L’AGOA

Il faudra voir, au fil des prochains mois, dans quelle mesure il s’agira d’une « ère nouvelle » dans les relations commerciales entre les États-Unis et le Kenya. Mais il est vrai que le président Donald Trump, qui a fait du « commerce libre, équitable et réciproque » une priorité de son gouvernement, décline une partie importante de cette vision commerciale dans l’AGOA (la loi américaine pour la croissance et les possibilités en Afrique.) L’AGOA autorise notamment le libre-échange entre les États-Unis et l’Afrique.

« It was a thrilling, epic 36 hours from departure of the inaugural @KenyaAirways flight #Nairobi to #NewYork to the return! Thank you to everyone who made it happen. Now we should work together to realize all the possibilities it offers to connect us even more closely. » Ambassador Bob Godec, October 30, 2018.

Et maintenant que le vol de New York à Nairobi ne prendra pas plus que 15 heures, le Kenya s’attend à accueillir beaucoup plus de visiteurs en provenance des États-Unis, déjà la deuxième source du tourisme de ce pays.

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Innover devant le défi de la traduction

Dans la vie de tous les jours, nous pouvons être confrontés à des documents et à des textes qui, malgré leur importance pour nous, ne sont pas exactement dans la langue que nous parlons le mieux. Dans ces cas, il faudra impérativement procéder à leur traduction. Plusieurs sites sur Internet proposent maintenant des services de traduction. Mais c’est encore un défi de trouver une traduction PDF correcte, fiable et sans bavure; c’est cependant la mission que propose Protranslate.net – traduction PDF.

Une traduction fiable

La plupart des agences qui proposent des services en ligne se servent des robots ou de certains programmes de traduction pour effectuer, de manière automatique, les traductions qui leur sont soumises. Ce type de traduction n’est évidemment pas sans conséquences : beaucoup de fautes, de contre-sens, et même des phrases incorrectes en sont les principales caractéristiques. Bref, ils sont très peu fiables.

Protranslate se veut l’un des seuls sites à engager des professionnels de la traduction pour exécuter proprement les traductions de la clientèle. Plus encore, le site se veut spécialisé dans la traduction PDF, ce que les sites se servant de robots sont très souvent incapables de gérer. Quelle que soit la qualité du fichier de départ, qu’il soit en PDF numérique ou PDF image, les traducteurs de Protranslate n’ont aucun mal à en venir à bout. Ils maîtrisent parfaitement les formulations courantes et correctes pour chacune des langues de destination et précisément quel registre de langue utiliser pour que le document soumis ne soit pas, au final, défiguré.

Une traduction express

Et ce n’est pas parce que la traduction PDF de Protranslate est une traduction minutieuse et correcte qu’elle vous prendra également toute une éternité… Certes, la traduction ne sera pas instantanée, mais la rapidité de son service surprendra certainement celui qui comprend la hardiesse de la tâche de traduction.

En fonction du document, notamment du volume de celui-ci, un devis vous sera transmis pour que vous sachiez exactement quand votre traduction PDF vous sera livrée.

« Nous mettons un point d’honneur sur le respect des délais prescrits ; c’est pourquoi avec Protranslate, vous avez la garantie que votre travail vous sera livré dans le temps imparti. »

Un service disponible 7j / 7

Protranslate se veut l’un des sites les plus transparents que vous puissiez connaître dans le domaine de la traduction PDF. Son service client est constamment disponible, 7 jours sur 7, pour répondre à toute éventuelle question ou à toute préoccupation, quant à la traduction d’un document. Dès que vous entrez sur le site, l’interface de chat vous est ouverte et vous avez la possibilité de poser toutes vos questions. Et une réponse vous sera très vite donnée. Pour aller plus vite, il vous est aussi loisible et judicieux de faire un tour dans le volet « Foire aux questions », car vous y trouverez les questions de plusieurs autres clients et peut-être que la vôtre s’y trouvera déjà.

Bref, pour toutes vos traductions, quel que soit le type de document, quel que soit le format PDF que vous possédez, n’hésitez pas à contacter Protranslate. Votre nouveau partenaire privilégié.

Gaming Innovation : Slot Game Developers Keeping the Spinning Reels Fresh and Exciting

Regardless of how you view online gambling, it’s big business and one that’s proven to be a boon to the gaming industry and developers around the world. Some of the studios behind the most popular online casino games have been around for a surprisingly long time, while others are still forcing their way to the top of a competitive industry, thanks to making the most of cutting-edge technology and exciting innovations. If you’re a regular player of online slots, chances are that these are two of the developers behind more than a few of your favourite games.

Microgaming

Back in 1997, Ultima Online by Origin Systems was launched to the public and for many, it shaped the future of MMOs for the next two decades. However, in 1994 Microgaming was doing the same for casino games, launching the world’s first online casino software.

While Origin has already been swallowed by EA Games and eventually disappeared, Microgaming is still around – and these days is arguably the biggest player within their industry niche, producing a whole suite of software for leading online gambling companies and boasting a massive portfolio featuring hundreds of games.

 

They’ve developed some of the most played online slots such as Avalon, or the aptly named Mega Moolah, with one lucky winner cashing in over €17.8 million in one spin back in 2015. That record win was recently beaten in 2018 with a €18.9 million jackpot payout.

Tie-ins with branded products have also helped the company’s growth, including blockbuster slot games themed around titles such as Jurassic World, Highlander and Game of Thrones, to name just a few. For North American gamers keen to check out the latest online casino slots from Microgaming, one of the options is Dunder Casino, which hosts a huge collection of slots and many featuring progressive jackpots that can sometimes stack up to huge cash prizes.

Yggdrasil

By contrast to some of the bigger names in the online gaming industry, Yggdrasil might be hard to pronounce and considered by some to be a relatively new kid on the block, but they’ve swiftly made waves thanks to their innovative approach to games creation. Indeed, at the International Gaming Awards they were voted Innovator of the Year back-to-back for 2017 and 2018, and Gaming Software Supplier of the year in 2016.

Certainly, they’ve received plenty of deserved recognition and considering that Yggdrasil was only founded in 2013, they’ve grown rapidly and built well on their continued success. Taking a different approach to online casinos, they’ve created appealing titles such as Dark Vortex, Wolf Hunters and The Jungle Book, adding a rich layer of quest-based adventure and role-play to online slots.

 

Quite content at being recognized as an established underdog among giants in the industry, Yggdrasil is changing the way players interact with online casino games, and the biggest operators are taking note. Bringing groundbreaking social networking applications to slot games, or using motion capture to enhance live blackjack, this studio is creatively shaping the future of online gaming and far beyond just gambling oriented games.

Michael Sabia: retour sur Davos 2019

Comme bien des grands argentiers et leaders politiques de ce monde, le grand patron de la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) était présent au Forum économique mondial de Davos, en Suisse, pour l’édition de janvier 2019. Il y fut même conférencier dans un atelier sur l’intelligence artificielle. Dans sa contribution comme conférencier de prestige du déjeuner-bénéfice pour le Carnaval de Québec – organisé par la Chambre de commerce et d’industrie de Québec et présenté par l’Association des chefs d’entreprises du Québec et qui aura réuni 520 convives le 6 février 2019 au Hilton QuébecMichael Sabia fut vite invité à donner son impression générale suite à sa toute fraîche participation à « Davos 2019 ». Et d’un mot il a tout dit. Un mot pesant est sorti de l’exercice!

Le mot qu’il a partagé fut : « incertitude ». Avouant qu’il est donc rentré de Davos « incertain » face à la conjoncture mondiale actuelle.

« Je ne vois pas de récession à l’horizon (…) Les fondamentaux à la base de l’économie mondiale sont bons », a-t-il ensuite argué. Mais son impression clé de son passage au Forum de Davos en 2019 reste le pesant mot : INCERTITUDE.

Juste pour l’Europe, sa liste d’éléments en cause avait effectivement tout pour passablement nourrir un sentiment d’incertitude face à l’avenir immédiat et la difficulté d’un pronostique pour 2019 : « Brexit au Royaume-Uni, gilets-jaunes en France, fin du mandat de madame Merkel en Allemagne, populisme en Italie… »

Plus loin, dans son échange de trente minutes avec son interrogateur sur scène, Clément Gignac, l’ancien ministre québécois récemment devenu économiste en chef chez IA Groupe financier, le pdg de la CDPQ a mieux expliqué le fond de sa pensée, avec une très belle métaphore d’ailleurs, qui peut être résumée ainsi :

Depuis, et suite, à la crise de 2007-8, voire 2009, « l’étoile polaire des marchés » fut la réponse – par la politique monétaire – des grandes banques centrales de la planète. Ce fut le guide, jusqu’ici. Mais il semble bien que cette étape soit derrière, dorénavant. Là, on cherche la nouvelle « étoile polaire », a-t-il exposé en substance, en détaillant au passage que c’est ce qui explique les grands écarts récents à la Bourse, devenue très volatile.

La « volatilité» : c’est d’ailleurs l’autre grand mot clé à retenir de cette importante sortie publique de Michael Sabia.

LE QUÉBEC EN BONNE POSITION

C’est lorsqu’il fut invité à parler spécifiquement du Québec que l’analyse de Michael Sabia a pu se faire plus rassurante, voire encourageante, et offrir une direction.

Effectivement, le Québec a réussi « à assainir ses finances publiques ». Sa performance en 2017 et en 2018 fut bonne; d’ailleurs, pour 2018, la croissance fut au-delà des attentes et même supérieure à la moyenne au Canada… « Et devant un tel acquis, que devrait donc être le prochain grand défi du Québec…? », de lui demander son vis-à-vis : « La productivité » a répondu, sans hésitation, cet homme qui sait très bien compter.

Michael Sabia a aussi beaucoup insisté sur l’importance d’appuyer les nouvelles entreprises et les technologies en devenir (TIC, sciences de la vie, économie propre) et particulièrement face à la « transformation numérique », qu’il perçoit nettement comme un « facteur fondamental » de l’avenir à moyen-long terme. Face à ce grand défi, pour lequel il a proposé – à deux reprises – « d’investir dans la formation continue » et pas uniquement dans l’éducation de base, il a eu une analyse lourde de sens :

« Puisque les États ont failli à bien gérer la mondialisation (…) on doit maintenant se questionner à savoir ce qu’ils feront pour bien gérer la transition numérique », montrant qu’il souhaite, en toute évidence, que les États fassent beaucoup mieux cette fois!

Michael Sabia a également beaucoup insisté sur l’importance d’investir dans les infrastructures. Y voyant un gage de la productivité d’une société et de son économie. Et donnant, en exemple, le cas de la ville de Montréal qui allait « gagner en fluidité » avec le REM (le futur Réseau de transport électrique métropolitain). Un méga-projet dans lequel la CDPQ est le principal investisseur justement.

Faisant lien avec ce dernier aspect, nous vous partageons en complément, dans l’encadré ci-bas, le texte « 5 Cost-Efficient Innovations To Improve The U.S. Infrastructure » que la rédaction du cyberjournal recevait le même jour.

Un chèque de 55 800$ a été remis au Carnaval de Québec.

 

5 Cost-Efficient Innovations

To Improve The U.S. Infrastructure

by Barry Breede

Much has been written about the poor state of infrastructure in the world’s wealthiest nation. From its roads and bridges to waterways and rail systems, the United States has issues requiring hundreds of millions of taxpayer dollars to fix.

Innovation in the form of recycling or repurposing is being implemented as a cost- and environmentally-friendly way to improve segments of the U.S. infrastructure. Some companies and government entities are supporting the turning of outdated materials into useful pieces to the infrastructure equation. Amazon, for example, recently invested $10 million in a Closed Loop Fund project, which targets recycling infrastructure in the U.S.

“In this area of innovation, you consider a product’s whole life cycle, from cradle to grave,” says Barry Breede (www.koppersuip.com), author of Transforming the Utility Pole. “It’s a closed-loop process, and the promise of these developments exemplifies the value and the validity of this kind of innovation.

“For smaller and mid-sized companies, corralling the resources to build a lasting innovation effort is not always an easy task. However, one potential upside is transforming how the business operates. You’re bringing value to the customers and, by contributing to the greater good through helping the infrastructure, you’re bringing value to the general public as well. A win-win.”

Here are five recycle/repurpose innovations that can assist the public infrastructure:

  • Spinning old tires into better roads. Many states don’t have the funding to maintain and repair roads. Magdy Abdelrahman, a civil engineering professor at North Dakota State, is experimenting with using recycled rubber from scrapped tires to help preserve asphalt on existing roads. This would also help the environment; “tire dumps,” which contain roughly 300 million discarded tires annually, can pose environmental concerns.
  • Building walls out of old utility poles.Old poles can be recycled and used as both agricultural and/or building materials. Fence posts and retaining walls are some of the common applications. “If a utility company is stockpiling whole poles, this could be a valid solution,” Breede says. “This is perhaps the most environmentally responsible wood disposal method – and at the same time it’s a boon for building.”
  • Turning bottles into bridges. Places in Europe have been constructing bridges with recycled plastic for a decade. The U.S. has two bridges made of 100 percent recycled plastics. “It makes sense to replace worn-out wood with plastic,” says Breede. “Plastics in construction generally have a longer lifespan. Plastic costs more initially but in the long run it pays for itself.”
  • Converting railroad ties and wood pallets into biomass fuel. “Untreated wood waste, as from pallets and reels you see all over America, makes for excellent biomass fuel,” Breede says. “Local and regional energy providers use biomass facilities as do energy-intensive private industries.” An energy plant in northwest Michigan, powered by renewable biomass fuel, produces much of it from used railroad ties.
  • Drawing methane from landfills. Landfills are not a forgotten wasteland. Breede says landfill recovery gas (LFG), an option in which methane gas is captured from landfills, helps produce electricity while reducing harmful emissions. “The methane gas is an energy source to power turbines and, in turn, the turbines generate electricity for the grid,” Breede says.

“Seemingly mundane products can be the backbone of our infrastructure system,” Breede says. “They may be taken for granted and forgotten, but the job of the innovator is to think about the questions others don’t ask, and hopefully develop solutions.”

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Barry Breede (barrybreede.com), author of « Transforming the Utility Pole », is the chief innovation and marketing officer at Koppers Utility & Industrial Products―a USA leader in the sale of wood utility poles. He leads the company’s efforts in commercializing new business ventures, products, and services.

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