Sommet mondial de la nordicité
Dix semaines avant le jour 'J'

par Daniel Allard

 

À dix semaines du premier des rendez-vous sur la nordicité qu'elle donne au monde entier, l’équipe de Bernard Pâquet met la derniére main au programme de l'événement.

La Nouvelle-Angleterre sera présente

Le président du sommet, Bernard Pâquet, s’est rendu en Nouvelle-Angleterre et dans le Mid-Ouest américain, derniérement, pour constater que: "Boston et Saint-Paul/Minneapolis sont des cités de la nordicité puisqu’elles sont adaptées au froid et aux rigueurs de l’hiver... ces villes possèdent tous les équipements nécessaires pour déneiger les routes en peu de temps et un système d’information météoroutier performant". En mission d’affaires le 18 novembre, à Boston, et le 19 novembre, à Saint-Paul/Minneapolis, dans le Minnesota, il a rencontré des représentants de la Chambre de commerce de Boston (Greater Boston Chamber of Commerce) et le président de la Norvegian-American Chamber of Commerce à Minneapolis, des conférenciers potentiels des universités Harvard et du Minnesota, puis les ministères des Transports du New Hampshire et du Minnesota. Ces contacts privilégiés établis grâce à l’organisation du Sommet en collaboration avec le Bureau du Québec à Boston et les Consulats généraux canadiens à Boston et à Minneapolis ont permis non seulement de présenter le concept de la nordicité, les conférences et l’exposition commerciale du Sommet, mais aussi de confirmer que "Québec est dores et déjà la capitale américaine de la nordicité auprès des gens d’affaires et représentants du gouvernement du Nord-Est et du Nord-Ouest des États- Unis d’Amérique."

L’organisation du Sommet a réussi à promouvoir Québec comme capitale mondiale de la nordicité auprès d’acteurs socio-économiques de la Nouvelle-Angleterre. Monsieur Edmund R. Pignone, "Chief of Staff" et directeur des communications de la Greater Boston Chamber of Commerce, a avoué que c’est la première fois qu’on l’invite à organiser une mission à Québec pour des raisons liées à l’adaptation au froid, à la nordicité.

Monsieur Pâquet a aussi rencontré une des conférencières-vedettes du Sommet, Madame Naomi Miller, directrice du Centre de recherche sur l’éclairage de Watervliet, New York. Madame Miller a démontré un grand intérêt à prononcer sa conférence sur les aspects physiologiques de la perception nocturne de la ville, le 4 février 1999. "Le manque de lumière durant l’hiver peut causer des problèmes liés au fonctionnement de notre horloge biologique. Le Québec et la Suède détiennent des taux de suicides parmi les plus élevés du monde de la nordicité, véritable problème entre autre causé par les effets saisonniers de la variation de la lumière."

 

Pour plus d'informations: www.nordicite.org
et COMMERCE MONDE #7 de septembre dernier