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COP26 : Et si le succès à Glasgow se trouvait dans un meilleur climat de dialogue Religion-Science?

(25 octobre 2021) Et si la paix climatique pour toute l’humanité passait par le juste dialogue entre les meilleurs experts scientifiques et les plus importants représentants ou leaders religieux; comme ultimes conseillers aux chefs d’État et de gouvernements qui, eux, décideront d’une suite avec et pour tous?

Et si la paix – en tant qu’absence de guerre, donc de concorde globale – passait par l’état de santé de la liberté d’information; cet aidant naturel et fondamental pour maintenir un public informé et les populations aptes à agir en citoyens responsables?

Question paix, soulignons d’abord cette très bonne nouvelle qui aura été annoncée un 8 octobre! D’un Nobel de la paix à l’autre, l’Humanité avance dans l’espoir d’un monde meilleur. Pour le plus grand nombre, si possible pour tous! Alors, d’abord merci à nouveau, au visionnaire Mikhail Gorbatchev pour le partage – que le plus grand nombre venons d’apprendre – qu’il avait fait des couronnes norvégiennes reçues avec son Prix Nobel de 1990. Car la graine semée ainsi éclot d’une récolte résonnant comme un feu de joie dans le monde des médias partout sur la Terre. Le rôle et l’importance des journalistes, dans toutes sociétés soignant les valeurs démocratiques, vient de vivre un moment de grâce. Et le comité du prix, à Oslo, ne se sera certes pas trompé en 2021 en désignant du même coup une femme (fondatrice, en 2012, du cyber-média Rappler, aux Philippines), Maria Ress, en co-récipiendaire avec un des fondateurs de Novaïa Gazeta (ce média russe indépendant créé en 1993 via l’aide de la Fondation Gorbatchev), Dmitry Mouratov. Notons que c’est la première fois en 120 ans d’existence que le Nobel de la paix récompense directement la liberté d’information. Cette ode à une presse libre et indépendante envoie un double coup de tonnerre, déplaisant, dans les oreilles de tous les dirigeants politiques autoritaires.

« Le comité Nobel norvégien est convaincu que la liberté d’expression et la liberté d’information aident à maintenir un public informé. Ces droits sont des préalables essentiels pour la démocratie et pour prémunir contre la guerre et les conflits ».
Berit Reiss-Andersen, présidente du Comité Nobel.

Ces même dirigeants politiques qui seront parmi leurs vis-à-vis (espérons-le en véritable face à face) les 11 et 12 novembre, à Glasgow, pour tenter de donner de la chaire à l’os de cette cible du 1,5°C durement arrachée, en 2015, en convenant de l’Accord de Paris sur le climat. Un accord qui attend maintenant, depuis six ans, et demande – hurle! – d’être mis en application. Avant qu’il ne soit trop tard… Car « la maison commune est en feu »!

COALITION RELIGIEUSE POUR SAUVER LA « MAISON COMMUNE »

Vingt-deux (22!) étaient là; dans un atmosphère empreint de solennité, voire d’extrême gravité, mais aussi de solidarité. La conférence/événement – tenue dans la matinée pour ceux qui y assistait sur place à Rome – le lundi 4 octobre dans la maison du chef spirituel des Catholiques, le pape François, aura permis de signer un « appel » destiné aux participants à la COP26, que personne ne devrait ignorer. Et la Conférence des Nations unies sur les changements climatiques (UNFCCC) qui rouvre, à partir du 31 octobre et jusqu’au 12 novembre, à Glasgow, en Écosse, ses plus grandes assises diplomatiques pour la 26ièm fois depuis les premiers pas en la matière, ceux du Sommet de la Terre à Rio de Janeiro de juin 1992, en a pris acte. Ses deux plus hauts dirigeants étaient aussi là – le Britannique et l’Italien – très officiellement, à Rome, pour tendre la main et s’engager à porter le message à la COP26.

Mais l’une des prises de parole les plus senties y fut certainement celle de l’évêque Frederick Shoo, président de l’Église luthérienne de Tanzanie. Il n’aura rien perdu à attendre pour prendre la parole à la toute fin pour les deux minutes accordées à chacun des 22 représentants religieux. Alors que « la planète brûle », nous aurions « une obligation morale » à agir tout de suite. Citant Martin Luther, tout en partageant sa vocation à planter des arbres sur le mont Kilimandjaro:

« Je suis de la tradition de Luther qui a dit que même s’il savait qu’il allait mourir demain, il irait planter un arbre aujourd’hui », a tenu à partager celui qu’on désigne comme l’«évêque des arbres ».

C’est d’ailleurs ce qu’ils se sont tous empressés de faire, quelques minutes plus tard, en participant à la plantation d’un olivier dans les jardins du Vatican. Un arbre qui en aura beaucoup sur les épaules, d’ici Glasgow. Car comment trouver un consensus effectif, allant au-delà des paroles, et permettant les véritables actions communes, sans valeurs communes? Quand la règle du jeu de la vie est beaucoup de tirer toute la couverte à son avantage, contre des adversaires?

Cinquième à exercer sa prise de parole, l’Anglican archevêque de Canterbury, Justin Welby, fut d’ailleurs le tout premier à parler ouvertement d’économie. Appelant à un « repentir de l’économie » pour avoir trop demandé à la terre nourricière, il a résumé que le défi commandait, à ses yeux, pour l’essentiel, deux choses :

– d’abord « la réussite d’un véritable partenariat authentique et juste avec le Sud » (ici il faut entendre les pays et les populations les plus pauvres) du monde;

– et aussi le « changement radical de la fiscalité et des règles commerciales pour favoriser l’activité verte ».

À son tour, le docteur Rajwant Singh, fondateur et président d’EcoSikh, une organisation sikhe qui milite pour la défense de l’environnement, a partagé que pour eux la croyance va envers un fondateur qui leur dit que « l’eau, c’est le père de la vie et que la terre en est la mère ». Une spiritualité qui n’est pas loin des fondements de celle des Premières Nations au Canada certainement et globalement des peuples Autochtones des Amériques.

Le porte parole du Jaïnisme, adepte avant tout de la non-violence, a lui rappelé le serment des médecins inspiré par Hippocrate. Pour proposer, dans la même logique de serment, d’en faire faire un par tous les humains pour arrêter de faire violence à notre maison commune, la Terre. Et toutes « solutions durables nécessitent un système économique différent » pour l’Église réformée. Il faut en conclure que pour les Réformés, en belle cohérence, il faut bonnement réformer l’économie!

Les 22 chefs et leaders religieux présents, ayant signé l’appel, puis pris parole, représentaient une encore plus grande diversité des choix spirituels possibles sur Terre alors que le représentant du Conseil oeucuménique des églises parlait au nom de 349 églises, qui revendiquent plus de 480 millions de fidèles. Ce qui en ferait un pays plus populeux que l’Indonésie, quatrième nation souveraine du monde selon le facteur de la population, après le trio Chine-Inde-USA (qui mérite peut-être déjà une mise à jour Inde-Chine-USA…) Mais les frontières spirituelles, on le sais, ne doivent pas être amalgamées aux frontières des souverainetés politiques. L’Humanité est bien plus complexe!

COMPLÉMENTARITÉ ENTRE RELIGION ET SCIENCE

Si le pape François, lui, parle du « (…) respect mutuel entre la foi et la science, pour entrer dans un dialogue en vue de la sauvegarde de la nature, de la défense des pauvres, de la construction de réseaux de respect et de fraternité »… il insiste pour que ce respect soit vécu « de manière empathique et active ». Le Saint-Père concluant que la COP26, à Glasgow, est appelée « de toute urgence à offrir des réponses efficaces à la crise écologique sans précédent et à la crise des valeurs ». Un constat qui oblige à non seulement engager le dialogue interreligieux, mais tout autant celui de la complémentarité entre Religion et Science.

Ce qui s’exprimait, ce jour-là, par la participation du président de l’Académie pontificale des Sciences, le professeur Joachim von Braun, ainsi que celle du président de l’Académie pontificale pour les Sciences sociales, le professeur Stefano Zamagini. Le scientifique von Braun soulignant que cette crise nous rappelle la plus ancienne question philosophique pour les humains, à savoir : «  Comment devons-nous vivre? »

Et ici existe certainement un solide pont entre Religion et Science. Car, si par la science on comprend les faits – et ici les dégâts – ensuite il faut en appeler à la moralité pour savoir agir, pour savoir comment continuer! Et la morale, c’est assurément dans les affaires pour lesquelles les acteurs religieux abondent en solutions, propositions ou réponses diverses à la fameuse grande question : Comment vivre?

Angoisse existentielle, quand tu nous tiens! Athéisme, agnosticisme, voila deux choix fort présents dans la vie en société en ce XXIe siècle avançant, mais le choix religieux demeure lui aussi bien là. Devant certes s’adapter : « On s’aperçoit qu’il est très rare qu’un individu ait une religiosité constante dans sa vie (…) Le religieux sert (…) à passer à travers l’épreuve, à retrouver un certain sens devant les souffrances et à se refaire de manière quasi thérapeutique. Il y a une sorte de reconstitution identitaire par la médiation du religieux », explique d’ailleurs le sociologue des religions de l’Université d’Ottawa, le professeur Martin Meunier. S’inspirant de son enquête en cours sur les histoires de vie à partir d’entrevues individuelles de trois heures avec une cinquantaine de personnes et qui était cité dans l’article du journaliste Stéphane Baillargeon du 22 octobre 2021 du quotidien montréalais Le Devoir.

Aider à passer à travers l’épreuve… Retrouver un certain sens… Pandémie de la COVID-19… Dérèglements climatiques…

DE ROME À GLASGOW… SANS OUBLIER OSLO

Beaucoup critiquent le pape François, mais c’est tout de même dans sa maison à lui que 22 représentants religieux de la planète ont accepté de se réunir pour parler, d’une force commune, et pour signer l’appel en vue de la COP26 à Glasgow. Contrairement au programme prévu, le chef spirituel des Catholiques n’a d’ailleurs pas prononcé son discours. Il s’est simplement assuré que tous les participants l’avaient en main, en préférant donner à ses hôtes plus de temps de parole. Mais dans ce discours distribué, François a articulé sa réflexion autour de trois concepts : « Le regard de l’interdépendance et du partage, le moteur de l’amour et la vocation au respect. »

Toujours selon François : « Tout est lié et le monde est interconnecté », encore inspiré de son encyclique Laudato Si’ (2015) ; « aucune créature ne se suffit à elle-même ; chacune n’existe que dans la dépendance des autres, pour se compléter mutuellement, au service l’une de l’autre. »

La « maison commune est en feu », alors « agissons sans délai ». N’entendons-nous pas «  le cri des pauvres et le cri de la Terre » ont-ils ensemble soutenu comme résultats de mois d’efforts – un fait sans précédent qui a été souligné par plusieurs – à s’être rencontrés et concertés.

À court terme, la suite passe cependant par la route des politiciens qui gouvernent les États. Et alors même que tous « les grands de ce monde » fignoleront leurs cartes à jouer avant Glasgow-COP26, plusieurs devront préalablement passer par le Sommet du G20 qui en 2021 a rendez-vous à… Rome! Oui, les 30 et 31 octobre; le même 31 octobre que les organisateurs de la COP26 ont déterminé comme le jour 1 de cette conférence, plutôt que le 1er novembre initialement planifié « pour donner plus de temps de travail ».

Bref, prochain test à surveiller : le G20 de Rome, qui donnera fortement son ton à la finale de Glasgow, elle planifiée pour les 11 et 12 novembre 2021, bien que le WORLD LEADERS SUMMIT & FIRST PART OF THE HIGH-LEVEL SEGMENT se tiendra les 1-2 novembre, en présence d’un grand nombre des leaders politiques du monde.

Qui sauvera l’humanité? La démocratie? Alors, ici, il faudra aussi savoir et pouvoir compter sur le rôle et l’action des journalistes de partout dans le monde. Osons un autre merci au Comité Nobel d’Oslo puis à tous les Maria Ress et Dmitry Mouratov de ce monde.

Qui sauvera l’humanité?

La volonté-action politique ?
« C’est vraiment irritant. Ils parlent mais ne font rien » – La Reine Elizabeth II, qui n’était apparemment pas au courant de la présence d’un micro en direct à proximité, alors qu’elle faisait référence aux dirigeants mondiaux qui allaient bientôt assister à la réunion COP26 sur le changement climatique qui se tiendra à Glasgow, alors qu’elle bavardait avec le président du Senedd et la duchesse de Cornouailles après avoir ouvert l’Assemblée galloise.
https://www.youtube.com/watch?v=4WOIr2D5_rs
La jeunesse ?
COY16 Glasgow sera l’événement officiel précurseur de la COP26, approuvé par l’Envoyé du Secrétaire général des Nations Unies pour la jeunesse! En 2021, COY en sera à sa 16e année et sera considéré comme l’événement jeunesse le plus grand et le plus ancien à ce jour; rassemblant des milliers de jeunes acteurs du changement de plus de 140 pays!
L’éducation ?
Nous soulignerons ici, au nom de tous ceux dédiant leur vie à l’enseignement et au rôle fondamental de l’éducation, l’honneur fait à un Québécois, homme de grande culture et de foi, que nous avons eu l’occasion de rencontrer et apprécier, à Québec, lors de deux rencontres en août 2021. Le 22 septembre, il a reçu une distinction d’excellence, lors du « New York Annual Gala » de la fondation A chance in life.

Félicitation à monseigneur Guy-Réal Thivierge, secrétaire général de la Fondation pontificale Gravissimum Educationis, pour son prix : 2021 Excellence in Education.

Deux autres personnes partageaient les honneurs de ce gala :
– Mme Tami Erwin, Executive Vice President and CEO of Verizon Business (2021 Woman of the Year) ;
M. Chris Augustin, CIO for Global Business Solutions Fiserv (2021 Man of the Year).

https://www.achanceinlife.org/events.html

(Crédit photo: prise d’écran de la captation vidéo de la conférence, l’image montrant alors l’archevêque de Canterbury, Justin Welby, prenant parole le 4 octobre 2021 au Vatican.)

Metal Earth : 104 millions $CND pour relancer l’industrie mondiale des minéraux

Certes pas désintéressé dans l’affaire, l’initiative annoncée le 8 septembre 2016 à Sudbury implique le gouvernement fédéral canadien pour un investissement de sa part de 49 269 000 $, dans un programme de recherche en exploration minérale de l’Université Laurentienne qui, avec un total de 22 autres partenaires issus des milieux universitaires, industriels et gouvernementaux, y versent 55 000 000 $, en espèces et en nature. But de l’opération : aider des investissements d’exploration à faible risque et à inverser la tendance actuelle, celle des faibles taux de découverte de nouveaux gisements minéraux, tant au Canada qu’à l’étranger.

Cette initiative de sept ans est baptisée Metal Earth. La contribution du Canada provient du Fonds d’excellence en recherche Apogée Canada (FERAC) pour un coup d’impulsion de 49 269 000 $ sur sept ans.

« L’Université Laurentienne est déjà le bénéficiaire le plus en vue au Canada de fonds de recherche en géologie économique et figure parmi les meilleurs établissements au monde… 

(…) Nous sommes fiers d’appuyer la Laurentienne et le Centre de recherche en exploration minérale à l’École des sciences de la Terre Harquail, et de la voir devenir le leader mondial incontesté dans la recherche en exploration minérale », a déclaré le député de Sudbury, Paul Lefebvre, au nom du ministre, le jour de l’annonce.

Par son mandat, le FERAC aide les établissements d’enseignement post-secondaire canadiens à exceller à l’échelle mondiale dans les domaines de recherche porteurs d’avantages économiques à long terme pour le Canada. Le concours inaugural a donné lieu à cinq octrois de fonds totalisant 350 000 000 $ en 2015. L’annonce du 8 septembre faite par le gouvernement fédéral voit attribuer 900 000 000 $ à 13 universités sur 51 candidats. Chaque établissement ne pouvait présenter qu’une seule demande.

Les résultats des travaux de Metal Earth seront transférables dans le monde entier et aideront le Canada à demeurer un leader de poids dans la quête mondiale de métaux.

Un troisième concours devrait être lancé en 2021-2022. Les décisions de financement ont été prises par un comité de sélection de premier plan, après examen des demandes par les pairs basé sur le mérite scientifique et la capacité manifeste à mener des projets à l’échelle internationale, la pertinence stratégique pour le Canada et la qualité du plan de mise en œuvre.

« L’annonce de financement (…) est la plus importante depuis la création de la Laurentienne il y a 56 ans et le plus grand programme de recherche en exploration jamais entrepris au Canada », a déclaré le recteur et vice-chancelier de l’université, Dominic Giroux.

Plus tôt la même journée, l’Université Laurentienne avait également annoncé un don de 10 000 000 $ qu’a fait la famille Harquail au Département des sciences de la Terre, nouvellement rebaptisé l’École des sciences de la Terre Harquail. Soulignons que David Harquail est président et chef de la direction de Franco-Nevada Corporation, une société de redevances axée sur l’or et inscrite à la cote de la Bourse de Toronto et de la Bourse de New York.

Répondre à un problème mondial

« Les réserves mondiales de métaux sont en train de s’épuiser du fait de la demande accrue et de la diminution des taux de découverte au cours des dix dernières années. Or, il se trouve que les dépenses consacrées à la prospection ont augmenté tandis que les taux de découverte ont diminué. Sans moyen de découvrir et d’extraire des métaux, les sociétés modernes seront confrontées à une crise qui aura des répercussions négatives sur le développement social, technologique et industriel. Pourtant, le Canada dispose de gisements minéraux encore inexploités. »
Harold Gibson
Directeur du Centre de recherche en exploration minérale (CREM) de l’École des sciences de la Terre Harquail et chercheur principal à Metal Earth

Les métaux, qui représentent 19,6% des exportations et 4% du produit intérieur brut (PIB), constituent l’un des principaux leviers de l’économie canadienne. Avec Metal Earth, l’industrie et le gouvernement seront dotés de nouvelles connaissances, de personnel hautement qualifié, de protocoles et d’outils leur permettant de concentrer les crédits alloués à l’exploration et à l’infrastructure dans les domaines à forte minéralisation en métaux.

« Metal Earth est une nouvelle approche qui va au-delà de la recherche traditionnelle au niveau du gisement ou du district. Il transformera la façon dont nous faisons l’exploration de métaux et notre compréhension de l’évolution de la Terre. » Harold Gibson

Metal Earth mobilisera des chercheurs de la Laurentienne et de ses établissements partenaires, recrutera plus de 35 chercheurs postdoctoraux, assistants de recherche, techniciens et employés de soutien, et verra participer plus de 80 étudiants des cycles supérieurs et de 100 étudiants de premier cycle et de nombreux sous-traitants.

Par ailleurs, Metal Earth fera embaucher à l’Université Laurentienne un titulaire d’une chaire de recherche en ciblage d’exploration et trois autres professeurs en géologie précambrienne, modélisation de systèmes terrestres et géophysique appliquée.

Metal Earth compte de nombreux partenaires, dont les Sociétés géologiques du Canada, de l’Ontario, du Québec, du Manitoba, des Territoires du Nord-Ouest et du Nunavut, le Fonds du patrimoine du Nord de l’Ontario (SGFPNO), TMAC Resources, le Carnegie Institute, Noront Resources Ltd., l’Université de Western Australia, l’Université Laval, l’Université de Tasmanie, l’Université de Toronto, la famille Harquail, l’Université du Québec à Chicoutimi, l’Université d’Ottawa, Vale, MIRA Geoscience Ltd., le Centre d’excellence en innovation minière et MIRARCO.

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www.laurentienne.ca

Photo: colourbox.com

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