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Draft Canadian Drone Regulations: DJI is disappointed

DJI, the world’s leader in civilian drones and aerial imaging technology, expressed disappointment this July with draft regulations – Last Draft Canadian Drone Regulations -for the recreational and commercial use of drones recently published by Transport Canada, and urged drone users to submit comments as part of the government’s consultation before the rules are finalized.

While DJI is pleased some operating restrictions from earlier Interim Orders have been eased, the draft rules as written would significantly limit safe and responsible drone use. The rules would also make it harder for Canadian innovators and entrepreneurs to develop new ways to use drones in business, education, agriculture and public safety, leaving Canada to fall behind in realizing the benefits of drones.

The draft regulations make no distinction between recreational and commercial operations, meaning Canadians who simply want to see their homes from above would have to follow the same strict standards as large businesses with fleets of drones.

« We are disappointed that Transport Canada has taken an overly restrictive approach for its new proposed drone rules. Strong restrictions placed on drones in built-up areas – essentially all locations where people live – overlook the benefits drones can provide to cities and will result in millions of Canadians not having the opportunity to realize the full potential of this emerging technology », said Brendan Schulman, DJI Vice President of Policy and Legal Affairs.

Schulman pointed to several problems with the draft regulations, including:

  • A mandatory $100,000 insurance requirement for any drone that weighs more than 250 grams – less than the weight of two hockey pucks – which will discourage schools, students and hobbyists from experimenting with drones in science, engineering or photography.
  • A requirement that drones cannot be flown within 100 feet of people, which would instantly make it illegal for millions of Canadians to fly a small drone in their own backyards.
  • A burdensome requirement for manufacturers to certify their products to still-undefined standards before performing certain professional operations in Canada, even though the same products have been allowed to perform the same operations in the United States for the past year.

DJI plans to submit detailed comments as part of the government’s consultation on these draft regulations and encourages drone users to do likewise. Comments must be submitted by Oct. 13, 2017 to the address at this link.

« An ideal regulatory regime would adequately mitigate the risk of injury and property damage while allowing innovators the freedom to experiment and to use drones with minimal burdens or barriers to entry. We look forward to providing feedback to suggest ways that these draft regulations can be turned into a set of rules that protect the public while encouraging innovation », said Eric Ebenstein, DJI Head of North America Public Policy.

DJI is a global leader in developing and manufacturing civilian drones and aerial imaging technology for personal and professional use. DJI was founded and is run by people with a passion for remote-controlled helicopters and experts in flight-control technology and camera stabilization. The company is dedicated to making aerial photography and filmmaking equipment and platforms more accessible, reliable and easier to use for creators and innovators around the world. DJI’s global operations currently span across the Americas, Europe and Asia, and its revolutionary products and solutions have been chosen by customers in over 100 countries for applications in filmmaking, construction, emergency response, agriculture, conservation and many other industries.

For additional information, please contact:
Adam Lisberg, DJI Corporate Communication Director, North America – adam.lisberg@dji.com

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(Source de l’image voir: www.commercemonde.com/2015/07/23m-plus-gros-drones-civile/ )

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L’AIESEC choisit Montréal pour établir son nouveau secrétariat international

L’annonce a été faite à l’occasion de son Congrès international, tenu à Carthagène, en Colombie. L’AIESEC, l’une des plus importantes associations au monde avec 50 000 membres étudiants et nouveaux diplômés, a expliqué « préférer Montréal aux autres métropoles finalistes » dans le cadre d’un processus d’appel d’offres qui avait été lancé en avril dernier, visant à choisir son nouveau siège social mondial.

« Montréal se démarque par son emplacement stratégique, sa stabilité économique, son coût de la vie compétitif et son environnement urbain sécuritaire. De plus, la communauté étudiante y est nombreuse et très active. Ses caractéristiques distinctives répondent parfaitement aux besoins de notre organisation et à notre mandat », a déclaré lors du congrès Niels Caszo, président de AIESEC International 2016-17.

MONTRÉAL INTERNATIONAL DÉCLASSE ROTTERDAM

Piloté par Montréal International, le projet de candidature de Montréal a été couronné de succès grâce à l’appui d’une trentaine de partenaires, ainsi qu’aux efforts concertés de Développement économique Canada pour les régions du Québec, du Ministère des Relations internationales et de la Francophonie du Québec et de la Ville de Montréal.

« Nous sommes ravis que l’AIESEC ait porté son choix sur Montréal et nous remercions la trentaine d’organisations qui ont appuyé sa candidature, notamment les regroupements et les établissements d’enseignement, de même que les organisations jeunesse et les entreprises du secteur privé. Cette solidarité et cette mobilisation ont été des facteurs décisifs dans le choix de l’AIESEC, lui laissant entrevoir tout le potentiel d’affaires dont elle pourra tirer parti pour croître et renforcer son positionnement à travers le monde », a déclaré Hubert Bolduc, pdg de Montréal International.

Le statut de Montréal à titre de meilleure ville universitaire au monde, attribué par l’organisation QS, a également joué en faveur de la candidature de Montréal, l’AIESEC ayant pour mandat de développer le potentiel de leadership des jeunes grâce à des échanges internationaux afin qu’ils soient notamment en mesure de contribuer positivement à la société.

« L’AIESEC est une organisation dont l’influence s’étend à travers le monde et qui bénéficie d’un statut consultatif auprès du Conseil économique et social des Nations Unies (ECOSOC), du Département de l’information des Nations Unies (DPI) et du comité permanent de l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) », a pour sa part fait remarquer le maire Denis Coderre, aussi président de la Communauté métropolitaine de Montréal.

L’AIESEC procèdera au déménagement de ses bureaux actuels, situés à Rotterdam, aux Pays-Bas, en septembre 2018. Elle viendra s’ajouter aux quelque 64 organisations internationales gouvernementales et non gouvernementales déjà présentes à Montréal, la plus importante communauté d’organisations internationales en Amérique du Nord, après Washington et New York.

Outre leur impact économique annuel de près de 300 M$, les organisations internationales bonifient le rayonnement international de la métropole, facilitent l’établissement de liens entre les entreprises d’ici et les réseaux internationaux et enrichissent le Québec d’une expertise unique. Depuis 1996, Montréal International – la seule agence de développement économique au monde ayant un programme dédié à l’attraction, à l’accueil et à l’expansion des organisations internationales – a attiré à Montréal environ la moitié des organisations internationales établies dans le monde.

Source de l’image: http://uclu.org/clubs-societies/aiesec-society

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Nourrir la planète : un Plan environnemental national de la ferme pour le Canada

Le défi de nourrir la planète, avec quelque chose comme 9 milliards de bouches humaines à satisfaire d’ici 2100, est encore sans solution rassurante. Il est donc intéressant d’apprendre que les « intervenants agroalimentaires dans l’entière chaîne de valeur » d’un des greniers du monde, le Canada, sont invités à assister au 2e sommet annuel pour un Plan environnemental national de la ferme (PENF). Ce rendez-vous est donné pour le 1er et le 2 novembre 2017 à Ottawa.

Assurant la coprésidence du Comité directeur du PENF, la Fédération canadienne de l’agriculture (FCA) encourage les producteurs et les groupes agricoles à participer à cette initiative qui vise « à harmoniser les nombreux programmes de plans environnementaux de la ferme (PEF) que l’on trouve au Canada ».

« Les organisations agricoles reconnaissent qu’il est de plus en plus important pour les producteurs de démontrer leur engagement à l’égard des pratiques environnementales exemplaires. La FCA est heureuse d’investir dans des efforts dont le but est d’uniformiser davantage les divers plans environnementaux de la ferme au Canada, tout en s’assurant qu’ils continuent de répondre aux besoins dans leurs régions respectives », explique Ron Bonnett, président de la Fédération canadienne de l’agriculture.

Un Plan environnemental de la ferme (PEF) est un outil d’auto-évaluation volontaire et s’appliquant à l’ensemble de la ferme qui aide les agriculteurs et éleveurs à cerner et à exploiter les atouts environnementaux, ainsi qu’à réduire les risques pour leurs opérations.

Un PENF national ne remplacerait aucunement les programmes existants, mais servirait d’effort mené à travers le pays pour uniformiser les programmes de PEF existants.

BÂTIR UNE NORME NATIONALE

S’appuyant sur l’événement inaugural de l’année dernière, les participants au sommet de novembre 2017 développeront une norme nationale canadienne conçue pour relier des pratiques écologiquement durables à la ferme avec la nécessité croissante pour les acheteurs d’aliments dans le monde à obtenir des ingrédients de sources durables du point de vue écologique.

« Le PENF s’appuie sur les solides PEF établis depuis plus de 20 ans dans la communauté des agriculteurs et des gros éleveurs. La crédibilité du programme de PEF a déjà séduit plusieurs grands acheteurs. Mais la norme nationale jettera les bases pour l’approvisionnement cohérent d’un océan à l’autre tout en s’assurant que le processus continue d’être dirigé par les producteurs », précise pour sa part Erin Gowriluk, présidente du Sommet pour le PENF et aussi directrice des Politiques et Relations gouvernementales à la Commission du blé de l’Alberta.

La mise sur pied du programme PENF va bon train et est dirigée par un comité directeur composé de participants venant de toutes les composantes de la chaîne de valeur agroalimentaire au Canada. Quatre sous-comités travaillent à l’élaboration d’un protocole national pour la collecte des données, l’établissement de normes et la vérification. Et toutes ces activités seront soutenues par des efforts complets de communication et de sensibilisation des intervenants.

Les participants au sommet recevront une mise à jour de chaque comité et entendront des experts en la matière parler des progrès réalisés à ce jour – autant de renseignements qui serviront à mieux définir les étapes qui mèneront à l’adoption de la norme nationale.

La Fédération canadienne de l’agriculture (FCA) est le plus important organisme agricole au pays. On trouve, parmi ses membres, des organismes agricoles provinciaux et des groupements nationaux et inter-provinciaux de producteurs spécialisés, dans chaque province du Canada. Par l’entremise de ses membres, la FCA représente plus de 200 000 agriculteurs canadiens et familles canadiennes d’agriculteurs.

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Pour en savoir plus et vous inscrire au Sommet pour le PNEF de 2017, visitez www.nationalefp.ca.

Le Comité directeur du PENF est toujours désireux d’ajouter de nouveaux noms à sa liste des intervenants participant au façonnement de cette solution mise au point au Canada.

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Exportations d’électricité : un niveau record pour le Canada l’an dernier

Les volumes d’exportations d’électricité du Canada ont augmenté de 7%, atteignant un record de 73 terawatt-heures (TWh) pour l’année 2016. Et c’est le Québec qui demeure le plus gros exportateur d’électricité au Canada, suivi de l’Ontario, de la Colombie-Britannique et du Manitoba. Pour 2016, ce quatuor de provinces représente d’ailleurs 95% des exportations canadiennes totales, sans surprise toutes à destination des États-Unis.

Les principaux marchés pour les exportations canadiennes restent les mêmes que les années précédentes, c’est-à-dire les États de New York, de la Californie, du Vermont, du Minnesota, ainsi que le Dakota du Nord, le Michigan et le Maine.

Devant la concurrence des autres sources d’énergie, les revenus tirés des exportations d’électricité ont cependant baissé de 6% en 2016, après avoir atteint un sommet de sept ans en 2015. Un résultat principalement attribuable aux prix de gros dans les marchés de destination qui sont plus bas aux États-Unis. En 2016, le Canada aura obtenu environ 40 $ par mégawattheure (MWh) pour ses exportations, comparativement à 46 $/MWh en 2015.

À l’exception de 2014, les volumes d’exportations d’électricité du Canada augmentent de façon constante depuis 2010. De 2006 à 2016, les volumes d’exportations du Québec sont passés de 12 TWh à 26 TWh. Les exportations de l’Ontario sont passées de 10 TWh en 2006 à 19 TWh en 2008; elles ont diminué à 11 TWh en 2010 et 2011, puis elles sont remontées à 20 TWh en 2016. En Colombie-Britannique, les volumes d’exportations sont passés de 5 TWh en 2006 à 10 TWh en 2007. Ils ont ensuite diminué à 5 TWh en 2010 et sont remontés à 11 TWh en 2012 avant de redescendre à 7 TWh en 2013 et 2014, puis de rebondir à 14 TWh en 2016. Au Manitoba, les volumes d’exportations ont oscillé entre 8 et 10 TWh de 2006 à 2016. Les volumes d’exportations de toutes les autres provinces étaient de 3 TWh en 2006, sont descendus à 1 TWh de 2010 à 2012 et sont remontés à 4 TWh en 2016.

Les revenus bruts des exportations canadiennes ont totalisé 2,3 milliards $ en 2006, puis ils ont augmenté à 3,6 G$ en 2008, avant de redescendre à 1,8 G$ en 2012. Après être montés à 3,0 G$ en 2015, ils ont chuté de 6%, à 2,8 milliards $ en 2016.

EXCELLENTE ANNÉE POUR LE QUÉBEC ET LA COLOMBIE-BRITANNIQUE

En 2016, les volumes d’exportations du Québec se sont donc élevés à environ 26 TWh, soit 8,5% de plus que l’année précédente. L’État de New York a représenté presque 11 TWh (42%) de ces exportations québécoises. Les exportations de l’Ontario ont, elles, totalisé à peu près 20 TWh. La majorité ayant été acheminée vers les États du Michigan et de New York. En 2016, le Manitoba a exporté environ 10 TWh vers le Minnesota et le Dakota du Nord.

La Colombie-Britannique a pour sa part établi un nouveau record de presque 14 TWh pour les volumes d’exportations de 2016. Les exportations vers la Californie ont augmenté de 45% par rapport à l’année précédente, atteignant près de 11 TWh. La Colombie-Britannique a aussi représenté 89% des importations d’électricité du Canada en 2016, en grande partie en raison de sa stratégie consistant à importer de l’électricité quand les prix sont bas et à exporter lorsque les prix sont élevés. La Colombie-Britannique a donc pu importer l’électricité au prix moyen de 25 $/MWh en 2016, et la vendre à 37 $/MWh en moyenne.

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Image: Principales interconnexions entre le réseau électrique du Canada et les réseaux du Nord des États-Unis (les pointillés représentent les lignes de transport qui devaient être construites au cours des années 2011-2017). Source: ici.radio-canada.ca/nouvelle/508844/commerce-international-electricite

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Fil RSS – Information sur l’énergie

Vos commentaires, questions ou suggestions portant sur les aperçus du marché peuvent être envoyés à l’adresse apercus@neb-one.gc.ca.

Source : Statistiques de l’Office sur les produits de base

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DÉBIT SANS PRÉCÉDENT DU LAC ONTARIO

Le Conseil international du lac Ontario et du fleuve Saint-Laurent a décidé de poursuivre les efforts visant à réduire davantage le niveau élevé du lac Ontario. Son débit a été augmenté, passant de 10 200 m3/s à 10 400 m3/s le 14 juin. Ceci donne lieu au débit d’eau le plus élevé ne s’étant jamais écoulé continuellement du lac Ontario sur une période prolongée.

L’Administration de la voie maritime du Saint-Laurent a conséquemment imposé des restrictions importantes liées à la navigation et pris des mesures de sécurité additionnelles pendant la période de débit élevé. Les plaisanciers sur le fleuve Saint-Laurent ont été informés du débit d’eau élevé et des forts courants.

Cependant, le niveau de l’eau du cours inférieur du fleuve Saint-Laurent à proximité de Montréal a continué de diminuer, malgré le débit accru loin en amont. Selon les observations actuelles, les répercussions additionnelles du débit élevé sont donc minimales. Le Conseil a ainsi décidé de continuer de maintenir un débit de 10 400 m3/s pour venir en aide à toutes les personnes touchées par ce haut niveau d’eau record du lac Ontario, sans toutefois aggraver les répercussions sur les autres intervenants de l’ensemble du réseau.

Le Conseil, la Voie maritime du Saint-Laurent, les responsables du barrage Moses-Saunders et les agences maritimes continueront de surveiller de près la situation et d’évaluer le niveau d’eau, les apports en eau et le débit durant cette période de conditions extrêmes.

DES NIVEAUX RECORDS

Le niveau du lac Ontario a diminué de 11 cm par rapport au sommet de 75,88 m enregistré le 29 mai. En aval, le niveau d’eau du fleuve Saint-Laurent à la hauteur du lac Saint-Louis, non loin de Montréal, a diminué de 15 cm depuis le 12 juin. Le 19 juin 2017, le niveau d’eau du lac Ontario était de 75,77 m, soit 72 cm au-dessus de son niveau moyen à long terme pour cette période de l’année.

Le niveau du lac St. Lawrence se situait dans sa moyenne, alors que celui du lac Saint-Louis était de 22,12 m, soit 78 cm au-dessus de sa moyenne. Au port de Montréal, le niveau d’eau était de 83 cm au-dessus de sa moyenne.

Le Conseil international du lac Ontario et du fleuve Saint-Laurent précise le débit du lac Ontario en conformité avec le Plan 2014, comme il est prescrit dans l’ordonnance supplémentaire de 2016 de la Commission mixte internationale.

Les États-Unis et le Canada ont convenu du Plan en décembre 2016 pour tenter d’améliorer la performance environnementale tout en conservant la plupart des avantages qu’apportait aux autres parties prenantes le Plan 1958-D, en vigueur précédemment depuis 1963. Afin de déterminer le débit, le Conseil et son personnel suivent de près le niveau d’eau du réseau hydrographique du lac Ontario et du fleuve Saint-Laurent ainsi que des Grands Lacs d’amont, de même que les effets qu’a ce niveau sur les intervenants de tout le bassin.

Des renseignements plus détaillés se trouvent sur le site Web du Conseil, à l’adresse suivante : http://ijc.org/fr_/islrbc.

 

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